Introduction

Des Présidents à la tête du Crime organisé

Autorités judiciaires corrompues

État dénaturé

L’implication des Gouvernements successifs

La famille SARKOZY

Des Criminels à la Présidence

Curriculum-vitae des principaux Ministres corrompus

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Liberté – Egalité – Fraternité

Un vocabulaire qui correspond bien aux discours politiques ou électoraux, mais qui a perdu tout son sens

Liberté

La définition selon LAROUSSE est la suivante : Condition d’un Peuple qui se gouverne en pleine souveraineté.

Que reste-t-il de cette souveraineté, alors que le Peuple s’égosille à démontrer sa souffrance, ses frustrations, son insatisfaction, son dépouillement et sa lassitude à son Gouvernement et que celui-ci feint d’entendre et poursuit ses abus.

Fraternité

La Fraternité dans une Oligarchie comme l’est devenue la France depuis quelques décennies, n’existe pas ! Quand le Pouvoir (gauche et droite confondues) sacrifie les classes sociales moyennes jusqu’aux plus démunis, pour permettre aux proches du Pouvoir et aux capitaines de l’économie qui financent leurs élections, d’accéder sans partage à tous les privilèges et à tous les revenus de l’économie, de s’enrichir égoïstement au détriment du pouvoir d’achat et des intérêts citoyens, un tel Pouvoir (Gouvernement et Parlement) doit être mis hors d’état de nuire. Il n’est plus légitime !

Réflexions

La Constitution française du 4 octobre 1958 décrétait son attachement aux principes des Droits de l’Homme et aux principes de la souveraineté nationale. La volonté de disposer d’institutions nouvelles, fondées sur l’idéal commun de liberté, d’égalité et de fraternité, conçues en vue de leur évolution démocratique…

Quel Citoyen vivant en France et qui ne fait pas partie de l’Oligarchie en place ou de la classe des nantis proches des Oligarques, peut-il faire le lien entre le contexte de survie dans lequel il évolue – de par le jeu politique mis en place par son Gouvernement – et les Droits qui lui sont garantis constitutionnellement ?

Les Membres du Pouvoir n’ont plus aucune étique, aucune morale, aucun respect du Citoyen. Leurs discours ne sont que manipulation, mensonges et tromperies.

Des Présidents à la tête du Crime organisé

Quand les Membres de plusieurs Gouvernements successifs (MITTERRAND, CHIRAC, SARKOZY, HOLLAND, MACRON), sont capables de détourner à leurs profits, des revenus provenant de brevets dont ils avaient la responsabilité, quand ils sont capables de les dévoiler pour escroquer les royalties qui en découlaient, ils doivent être présentés à la Justice et les avoirs qu’ils en ont tirés doivent être séquestrés !

Quand la “justice” française cautionne et participe au crime dénoncé, il y a alors machination et dans le cas des royalties de Joseph FERRAYÉ, il faut constater une escroquerie en bande organisée au sein même de l’Etat.

Dans l’émission « Sans-aucun-Doute » de Julien COURBET sur TF1 qui aurait dû être diffusée le 12 mai 2000 – censurée sur intervention du Ministre Dominique STRAUSS-KAHN, après le passage de la bande annonce de midi – Me Gilbert COLLARD traduisait en ces termes la personnalité des membres des Gouvernements impliqués dans le détournement des royalties :

« Une arnaque colossale » La plus grosse escroquerie du siècle sur fond de politique et de guerre du golfe !

« On ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu’un Etat a des intérêts qui sont reliés par d’autres Etats  » !

L’appendice 12 relate le contrat d’assassinat lancé par les membres du Gouvernement français, dont François MITTERRAND était Président !

Autorités judiciaires corrompues

L’audition du 19 novembre 2002 de Me Eric DE LA HAYE-ST-HILAIRE, Notaire parisien au service du Gouvernement français, est significative de l’absence de l’Etat de Droit en France. Il y fait référence à Me LE MAZOU, spécialiste du Droit dans le domaine de la propriété intellectuelle. Il y relève en page 2, qu’il avait refusé d’instrumenter les actes sur France, en raison de la “possible” implication de l’Institut français du pétrole, comme responsable des détournements dont Joseph FERRAYÉ était victime.

C’est pour cette raison que Me DE LA HAYE-ST-HILAIRE avait sollicité la collaboration de Me Pierre MOTTU, Notaire à Genève. Le Notaire parisien confirme encore l’existence des références des comptes des “autres” protagonistes de cette affaire et la procédure pénale ouverte en France contre les anciens partenaires de Joseph FERRAYÉ.

Où cela devient criminel, c’est lorsqu’il déclare que Me DE LA HAYE-ST-HILAIRE et Me LE MAROU ont réfléchi à un schéma juridique élaboré, à savoir un acte de cession des droits litigieux de M. FERRAYÉ à une entité tierce dénommée Wildrose (WR), qui aurait eu comme fonction de se mettre en rapport avec les anciens partenaires qui avaient escroqué M. FERRAYÉ, pour trouver une solution transactionnelle. Dans ce schéma, le détenteur des brevets devait recevoir un pourcentage seulement, des montants récupérés par WR. La contrepartie pour les escrocs, étant la fin de la procédure pénale ouverte dans le Sud de la France, intimée par Joseph FERRAYÉ.

Il est confirmé aussi que ce concept a été mis en place et signé par devant Me MOTTU à Genève, en sa présence et que tout s’est bien passé.

Enfin, dans une seconde phase, cette fois-ci en l’absence de M. FERRAYÉ, Me Eric DE LA HAYE-ST-HILAIRE confirme que lui et Me Pierre MOTTU disposaient des comptes qu’ils avaient présentés aux associés et mandataires de Joseph FERRAYÉ qui avaient escroqué les royalties et que durant les transactions, les montants (il s’agissait de centaines de milliards de dollars) étaient restés bloqués sur les comptes “soit chez MOTTU, soit chez BRUPPACHER, correspondant zurichois de Me LE MAZOU”.

Pour terminer avec Me Eric DE LA HAYE-ST-HILAIRE, il faut savoir que lors de l’audience du 25 juin 2007 (Procès MOTTU <> BURDET pour calomnies), Me ST-HILAIRE a témoigné qu’il avait pu voir les extraits de copies de relevés de comptes des 100 milliards de royalties versées par le KOWEIT. (Ces 100 milliards ne concernaient pas la vente des systèmes lors des French Trade Weeks du 23 au 29 novembre 1991 à KOWEIT-City) ou a Rio de Janeiro au Brésil du 3 au 14 février 1992, mais de l’indemnisation du KOWEIT pour l’extinction de ses puits.

Etat dénaturé

L’audition précitée de Me Eric DE LA HAYE-ST-HILAIRE et l’ordre de séquestre du Procureur genevois Laurent KASPER-ANSERMET, nous démontrent d’une part que les royalties avaient bel et bien été séquestrées, et qu’elles étaient sur les comptes du Notaire Pierre MOTTU et de l’Avocat associé de LE MAZOU, Me C. Mark BRUPPACHER à Zürich. Cette audition nous démontre également que la “justice” française avaient bien le contrôle des Associés et Mandataires de Joseph FERRAYÉ qui avaient escroqué les royalties, par une procédure ouverte dans le Sud de la France.

Dès lors, comment dans un Etat de Droit, peut-on mettre en place un “schéma” pour “céder un pourcentage des droits litigieux” à celui qui a été escroqué, alors que la législation prévoit en cas d’escroquerie, la condamnation des escrocs et la restitution des valeurs saisies à celui à qui elles reviennent !

Cette situation nous démontre clairement et avec certitude, que si Me Eric DE LA HAYE-ST-HILAIRE qui était Notaire de l’Etat français, a voulu trouver un “schéma plus élaboré”, c’était pour soustraire les ESCROCS à des poursuites pénales, sachant que le milieu politique avait été arrosé copieusement dans cette escroquerie.

Daniel LEVAVASSEUR, membre du RPR et ancien agent de la DST qui avait retrouvé les comptes sur lesquels se trouvaient les royalties, avait confié à Joseph FERRAYÉ son intention de régler le problème, sans que les politiciens ne soient touchés. Il faut savoir, qu’après la vente des systèmes à tous les Pays producteurs de pétrole, les royalties se calculaient en milliers milliards de dollars (de l’époque).

Le 18 octobre 2006, Joseph FERRAYÉ a déposé plainte pénale auprès du Tribunal de Grande Instance de Nanterre, plainte enregistrée sous la référence N 06 291 0047 avec timbre du Procureur de la République… Près de 15 ans après le dépôt de cette plainte dont le mémoire comportait 200 pages et 177 preuves des crimes commis, aucune suite n’y a jamais été donnée. La responsabilité de la France dans cette procédure, se calcule en dizaines de milliards d’Euros !

La confiance dans les autorités politiques françaises ne pourra plus jamais être rétablie. La preuve est donnée ici que les Autorités – Gauche et Droite confondues – sont capables d’escroquer et de s’approprier les valeurs d’autrui, sur lesquelles elles n’ont aucun droit.

On doit alors se poser la question – si elle sont capables d’escroquer un Citoyen – que vont-elles faire des avoirs vieillesse qu’elles contrôlent, des cotisations à la santé publique, des avoirs bancaires, sachant que les banques ont été les instruments financiers qui ont permis cette escroquerie cautionnées par l’Etat et que maintenant, ces capitaux gigantesques ont permis à ceux qui les ont escroqués et qui les détiennent, de prendre le contrôle de l’économie.

Aucune Loi dans la Législation actuelle ne fait état d’articles condamnant des Magistrats ou autres détenteurs du Pouvoir judiciaire s’ils violent la loi dans l’intérêt d’élus et c’est bien pour ça que ces criminels au service du Pouvoir judiciaire, peuvent poursuivre leurs crimes en toute quiétude et en toute impunité.

Quand ils détiennent le pouvoir de condamner des crimes, les Magistrat qui pratiquent eux-mêmes des crimes devraient être poursuivis avec des possibilités de condamnation 10 fois supérieures à celles prévues pour un citoyen lambda. Ce sont de nouvelles bases pénales qu’il faut mettre en place, Modifier la Constitution qui n’a pas prévu de telles crapuleries, parce qu’au temps du Général DE GAULLE, un tel mépris du Peuple était impensable.

L’implication des Gouvernements successifs (Gauche – Droite confondues)

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C’est sous la Présidence de François MITTERAND et avec sa complicité, que les brevets déposés par Joseph FERRAYÉ ont été escroqués. Consultons l’organisation gouvernementale qui a contribué à l’escroquerie :

Ministres de 1991 à 1992 hormis les Pemiers-Ministres cités ci-dessus, lors de l’escroquerie des brevets : (GdS = Garde des Sceaux)

JUPPÉ Alain (Secr. gén. RPR) mène conjointement avec Valéry GISCARD D’ESTAING la liste RPR-UDF aux élections EU

Ministres de 1993 à 2007 (Période durant laquelle l’escroquerie s’est poursuivie et durant laquelle les centaines de milliards provenant de la vente des systèmes (French Trade Weeks du 23 au 29 novembre 1991 à KOWEIT City) et à Rio de Janeiro au Brésil du 3 au 14 février 1992, ont été séquestrés, avant que le séquestre ne soit levé par le Pouvoir judiciaire suisse dès lors corrompu. Le Procureur suisse Bernard BERTOSSA a procédé à la levée de ce séquestre en 1995. Ensuite a débuté la période du blanchiment qui se poursuit encore à ce jour.

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Ministres de la Justice

Ils sont non seulement responsables à titre individuel, ils ont engagé la responsabilité de la République française.

Les ministres de la Justice désignés ci-contre ont tous cautionné, encouragé et participé au crime organisé en rejetant systémanitquement toutes les plaintes de Joseph FERRAYÉ qui voulait faire valoir ses droits.

Plus grave, alors que l’escroquerie était reconnue, les garants du Droit, au plus haut niveau de la république, ont tenté de faire mettre Joseph FERRAYÉ sous tutelle pour l’empêcher d’agir en justice. L’expertise psychiatrique du Dr. Bertrand RICONO de Nice, faite à la demande du Juge Joël ESPEL, est significative sur ce point. Le Dr. Bernard RICONO qui avait rédigé cette expertise sans avoir rencontré FERRAYÉ, a finalement été condamné le 11 janvier 1995 par l’Ordre des Médecins. Les “juges” ont cependant continué à utiliser cette pseudo expertise à l’encontre de Joseph FERRAYÉ, alors qu’une contre-expertise, celle-ci rendue le 8 novembre 1999 par le Prof. Henri AMOROSO, contredisait la première et confirmait le caractère équilibré de Joseph FERRAYÉ. Nulle autre preuve n’est nécessaire pour confirmer le fait que les membres du Pouvoir judiciaire – laquais du Pouvoir politique – sont directement partie du Crime organisé.

Par leur attitude abusive les Magistrats de la République qui ont tenté de couvrir les crimes de leurs gouvernements successifs, gauche et droite confondues, sont à la base même de la responsabilité que l’Etat français devra assumer envers les bénéficiaires des royalties ! Il est question maintenant de dizaines de milliers de milliards d’Euros !

Si le Gouvernement français a été l’initiateur du détournement des brevets de Joseph FERRAYÉ et de l’escroquerie des royalties versées pour ces brevets, les fonds escroqués ont transité par les banques de Suisse, de France, mais aussi d’autres Pays d’Europe, du Canada et des USA.

C’est dans ce contexte que les Autorités judiciaires et politiques de Suisses, de France, du Luxembourg, d’Allemagne, de Grande Bretagne, de Belgique, du Canada, des USA, etc. se sont également prêtées au cautionnement du crime organisé.

Le secret bancaire suisse a été un atout majeur pour couvrir les transactions illégales et les opérations de blanchiment, avec la complicité de la DEA aux USA. Des Collaborateurs de l’Administration des Etats-Unis à l’instar de Patrick DAWSON (alias Dave ROWE), Chef de la DEA pour la France, résidant à Gland VD en Suisse à l’époque de l’escroquerie, ont été très actifs pour légaliser les transferts internationaux, afin qu’ils échappent aux Autorités de surveillance des Etats.

La famille SARKOZY

Pour la petite histoire, il faut se souvenir qu’Oliver SARKOZY (Pierre-Olivier en réalité), frère de l’ex Président français Nicolas SARKOZY, a été Managing Director de Crédit Suisse First Boston de 1992 à 2003 (période de l’escroquerie des royalties), avant de rejoindre UBS dont l’ancienne société SBG avait également contribué à l’escroquerie. La fusion SBV – SBG (en français SBS-UBS) d’où est née la nouvelle UBS SA était du reste un moyen de dissimuler les preuves des milliards escroqués… Au cours de cette fusion, la banque SBG précitée faisait partie de la fusion. Pourtant, elle n’a été dissoute que 8 ans plus tard, ce qui signifie que durant ces 8 ans, elle a pu opérer en toute illégalité, sans aucun contrôle ! Aujourd’hui, Oliver SARKOZY est Managing Director & Head pour CARLYLE Group (proche de la famille BUSH) et gère un fonds de placement de centaines de milliards de dollars… Quant au CEO de la FINMA (Organe fédéral du contrôle des banques suisses) Mark BRANSON, il a travaillé pour SBC Warburg (ancienne UBS), avant de rejoindre le siège SBS de Zürich Il a été ensuite CEO de UBS pour le Japon, avant d’intéger le siège d’UBS Zürich pour le contrôle des risques… Autant dire qu’avec Mark BRANSON à la tête de la FINMA, les banquiers suisses peuvent dormir sur leurs deux oreilles…

Depuis l’ère MITTERRAND, La France n’a de « République » que le nom sur le papier. Elle est dans les faits, une Oligarchie sous le contrôle de Criminels sans scrupules, sans morale et sans éthique qui « gouvernent » en bande organisée pour échapper à leurs crimes !

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Des Criminels au Gouvernement

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Emmanuel MACRON

Un Psychopathe qui veut sauver les membres du Crime organisé en lançant la France et l’Europe dans une troisième guerre mondiale contre la Russie.

Il est la marionnette de l’État profond et des ROTHSCHILD où il a travaillé

https://swisscorruption.info/royalties/2017-03-12_cc_presidentielle_2017.pdf

https://swisscorruption.info/ukraine/#macron

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Nicolas SARKOZY (Rotary Club)
(Nicolas Paul Stéphane SARKÖZY de NAGY-BOSCA)

En 1976, la mère de Nicols SARKOZY s’est remariée avec Frank G. WISNER, directeur général de la CIA chez lequel Nicolas SARKOZY a fait plusieurs séjours. Cette situation indique, sans doute possible, l’implication active de la CIA et de la DEA dans l’escroquerie par le Gouvernement français, des royalties sur les brevets FERRAYÉ avec la complicité de la CIA. En outre, Pierre-Olivier SARKOZY, frère du président français déchu, qui avait été cadre d’UBS et de CREDIT SUISSE avant de gérer un fonds de plus de USD 500 milliards dans le Groupe CARLYLE, confirme les soupçons, etc.

SARKOZY au Gouvernement :

Alors qu’il était chargé de préparer la campagne de Charles PASQUA (témoin de mariage et mentor politique de Nicolas SARKOZY) pour la Mairie de Neuilly-sur-Seine, Nicolas SARKOZY a pris de court PASQUA pour présenter sa propre candidature, démontrant ainsi la fourberie dont il est capable. SARKOZY a été nommé Ministre du Budget et porte-parole du Gouvernement d’Edouard BALLADUR en 1993, alors que l’escroquerie des royalties battait son plein. Voyons en détails l’influence de SARKOZY dès le moment où le Gouvernement français a escroqué les royalties FERRAYÉ en 1992 :

1983Maire de Nuilly-sur-Seine jusqu’en 2002
1993Ministre du Budget jusqu’en 05.1995
1993Privatisation sociétés françaises (détails plus bas)
03.1993 – 01.1995Porte-parole du Gouvernement de François MITTERRAND
1994Ministre de la Communication jusqu’en 05.1995
1997Secrétaire général du RPR
04.1999 – 12.1999Président du RPR
05.2002 – 03.2004
06.2005 – 03.2007
Ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire
04.2004 – 11.2004Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie
04.2004 – 05.2007Président du Conseil général des Hauts-de-Seine
2005Député de la 6e circonscription des Hauts-de-Seine
05.2007 – 05.2012Président de la République
11.2004 – 05.2007
12.2014 – 05.2015
Président de l’UMP (Union pour un Mouvement Populaire)
2012 – Membre du Conseil constitutionnel

A partir de 1993 Nicolas SARKOZY a participé à la politique de privatisation d’entreprises par le gouvernement, alors que les revenus des royalties escroquées avec la complicité du Gouvernement français se calculaient en centaines de milliards de dollars au taux de l’époque, après la vente des brevets réalisée en 1992… https://swisscorruption.info/pdc/#cotti.

En fonction des sociétés cédées par les différents gouvernements, force est de constater que des centaines de milliards ont été encaissés par l’État, sans que soit constatée une quelconque amélioration des finances publiques. Presque toutes les sociétés listées ci-dessous ressortent de notre base de données et laisse supposer que les privatisations en question ont été en définitive les moyen de blanchir les royalties escroquées à coups de dizaines de milliards… Qui étaient les investisseurs ? Et d’où venait l’argent ? Voir portrait de Didier MIGAUD

Les privatisations :

Gouvernement BALLADUR 1993 – 1995

  1. Rhône-Poulenc, 1993
  2. BNP
  3. Elf-Aquitaine 1994
  4. UAP
  5. Seita 1995
  6. Total
  7. Coface 1994

Gouvernement JUPPÉ 1995 – 1997

  1. AGF 1996
  2. CGM 1996, vente de gré à gré
  3. Péchiney 1995 – voir portrait AUBRY Martine
  4. Usinor-Sacilor 1995
  5. Renault 1996
  6. Compagnie française navigation rhénane (CFNR)
  7. BFCE 1996 naissance à la banque Natexis
  8. Bull 1997

Gouvernement JOSPIN 1997 – 2002

  1. Air France, 1999
  2. Autoroutes du sud de la France Mars 2002
  3. Crédit lyonnais, 12 mars 1999 (décret)
  4. France Télécom,1997, 42 milliards de francs
  5. Eramet 1999
  6. GAN 1998
  7. Thomson Multimédia 1998
  8. CIC 1998
  9. CNP 1998
  10. Aérospatiale (EADS), 2000

Gouvernement RAFFARIN 2002 – 2005

  1. Autoroutes Paris-Rhin-Rhône 2004
  2. SNECMA, 2004 (Sagem prend le nom de Safran)
  3. Autoroutes du Nord et de l’Est de la France
  4. Crédit lyonnais
  5. Thomson

Gouvernement VILLEPIN 2005 – 2007

  1. Autoroutes du Nord et de l’Est de la France
  2. Autoroutes Paris-Rhin-Rhône
  3. Autoroutes du sud de la France
  4. Gaz de France, 8 juillet 2005
  5. SNCM (privatisation partielle)
  6. Électricité de France 2005 (Priv. partielle)
  7. Aéroports de Paris, (privatisation partielle)
  8. DCNS, ancienne Direction constructions navales

Gouvernement FILLON 2007 – 2012

  1. GRTgaz

Gouvernement AYRAULT 2012 – 2014

  1. Safran Cession de 3,12 % du capital / 03.2013
  2. EADS cession de 3,66 % du capital / 04.2013.
  3. EDF et GDF Suez – Montebourg propose baisse participations / 04.2013
  4. Ayrault envisage baisse du taux de participation de l’État dans le capital de certaines d’entreprises 05.2013
  5. Aéroports de Paris cession 9.5 % / 06.2013
  6. 6.Safran, cession de 4,7 % solde 22,4 % du capital
  7. Airbus Group (EADS), cession 1 % / 01.2014

Gouvernement VALLS – 2014

  1. Aéroport de Toulouse-Blagnac Cession de 49.9 %

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Martine AUBRY-Delors

(ENA 1973 à 1975) elle a été Ministre de 1991 à 1993 sous MITTERRAND et de 1997 à 2000 sous CHIRAC. Première secrétaire du PS de 2008 à 2012 elle a été ensuite Maire de Lille.

Entre 1989 et 1991, Martine AUBRY a travaillé pour le Groupe PECHINEY repris par ALCAN au moment où le Président du CREDIT SUISSE Rainer E. GUT blanchissait les royalties qu’il escroquait au travers des sociétés écrans https://swisscorruption.info/blocher et https://swisscorruption.info/credit-suisse.

Après PECHINEY c’est ALUSUISSE qui a été repris par ALCAN, toujours avec Rainer E. GUT, mais avec aussi l’UDC suisse Christoph BLOCHER, Martin EBNER et le Président actuel de FIAT-CHRYSLER et Président de SGS Genève, Sergio MARCHIONNE, qui jouaient ensemble au Monopoly pour blanchir les royalties escroquées.

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Laurent FABIUS

Il est aujourd’hui Président du Conseil constitutionnel (sic!)

Il a été Président de l’Assemblée nationale jusqu’en 1992, puis premier secrétaire du PS, Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie sous JOSPIN, tout ceci pour démontrer que lui aussi a baigné dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ. Laurent FABIUS a touché aux plus grands secrets de l’État. Il a été l’auteur du refus de lever le secret défense sur tous les documents de l’affaire Elf.

Il est important de rappeler ici que l’explosion de l’usine AZF de Toulouse le 20 septembre 2001, s’est produite quelques jours après les tours du World Trade Center à New York. L’usine AZF avait fourni les gaz liquides définis dans le brevet d’extinction des puits de pétrole au KOWEIT (azote ou dioxyde de carbone), alors que la France niait avoir escroqué les brevets en question.

Il y avait donc des preuves à faire disparaître, tout comme dans les tours du WTC où plus de 4’000 procédures judiciaires étaient en cours et allaient mettre en lumière l’implication des gouvernements respectifs.

Comme l’avait si bien dit Me COLLARD (Vidéo dans Sans aucun Doute), « la plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal; on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu’un État a des intérêts qui sont reliés par d’autres États »…

Ainsi il est important de rappeler la présence de Laurent FABIUS à Toulouse ce jour-là. Il était bien entre la base aérienne de Blagnac et le Palais des congrès de Labège au moment de l’explosion d’AZF. Selon un article de MADIAPART du 18 mai 2012, vers 10.00 H, le 21 septembre 2001 Laurent FABIUS venait d’atterrir à Blagnac. Plus de 10 minutes avant l’explosion d’AZF, Martin MALVY et Jean-Louis GUIGOU ont quitté la salle des congrès et rejoint le hall d’entrée pour recevoir Laurent FABIUS. Ils ont confirmé leur présence dans ce hall juste avant la catastrophe lors des auditions de la commission d’enquête parlementaire d’AZF-Toulouse.

Des témoins ont confirmé avoir vu un hélicoptère survoler la zone de l’usine AZF entre 10.20 H et 10.26 H, soit quelques minutes après l’explosion et tous les faits concordent vers l’hypothèse selon laquelle Laurent FABIUS aurait été à bord de cet hélicoptère.

Compte tenu de l’enjeu pour le Gouvernement, ne sommes-nous pas en droit de penser que le Ministre était là pour confirmer que le « nettoyage » avait été correctement effectué ?

Et puis dans les financement opaques, n’oublions pas les quelque 7 millions d’Euros de l’appartement de son fils Thomas et les poursuites pour faux dans les titres, escroquerie et blanchiment d’agent… Une famille bien nantie…, mais d’où vient l’argent ? Ce ne sont certainement pas les juges sous contrôles de ministres voyous, qui auront enquêté !

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Alain  JUPPÉ

Il était Ministre des Affaires étrangères quand le Gouvernement CHIRAC a repris l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ en 1993. Il avait été l’adjoint au Maire de Paris (CHIRAC) responsable des Finances.

Premier ministre de CHIRAC de 1995 à 1997 Alain JUPPÉ a lui aussi baigné dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties au moment où les séquestres ont été levés.

Comme pour FILLON et les autres, n’oublions pas que les Gouvernements successifs depuis MITTERRAND avaient déclaré – en toute illégalité – les systèmes FERRAYÉ comme “procédés stratégiques” pour avoir la mainmise sur l’invention.

Pourtant ces systèmes n’avaient aucun intérêt lié à la défense nationale de la France, il s’agissait donc là d’un abus de pouvoir manifeste, doublé d’une ruse pour escroquer l’inventeur.

C’est le Ministre Dominique STRAUSS KAHN qui a décidé de classer cette invention comme « stratégique » ou « secret défense », pour interdire tout accès à la procédure judiciaire lancée par Joseph FERRAYÉ et ceci contre les intérêts du Pays et à leur profit personnel…

Pour confirmer l’absence de toute éthique et morale, souvenons-nous qu’Alain JUPPÉ avait dû quitter la présidence de l’UMP en 2004, après avoir été condamné dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. Et ensuite, il a été Maire de Bordeaux… C’est du n’importe quoi qui démontre bien la “pourriture” de l’UMP à tous les niveaux.

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Bernard KOUCHNER

Un article de « Alpha Sidoux Barry » retraçait assez objectivement « L’honneur perdu de Bernard Kouchner » et sa transhumance politicienne. L’Article a depuis lors été retiré de l’Internet.

Bernard KOUCHNER était un politicien mû davantage par ses intérêts matériels personnels que par la cause humanitaire derrière laquelle il s’est longtemps abrité.

Relevons au passage qu’il est le mari de Christine OCKRENT, la journaliste belge qui présentait les émissions politiques et de (dés)information à partir de 1992. Son influence était visible également dans les émissions “A la Une”, “Dimanche soir”, rédaction de L’Express 1994-1996, Regarde le monde sur Canal J entre 1995 et 1996, etc.

Bernard KOUCHNER a fait partie de presque tous les gouvernements socialistes de 1988 à 2001 comme secrétaire d’État chargé de l’Action humanitaire dans le deuxième gouvernement ROCARD, secrétaire d’État auprès du ministre d’État, chargé de l’Action humanitaire dans le gouvernement CRESSON, ministre de la Santé et de l’Action humanitaire dans le gouvernement Pierre BÉRÉGOVOY secrétaire d’État puis ministre délégué chargé de la Santé dans le gouvernement Jospin.

En 1988, il est considéré comme trop incontrôlable par MITTERRAND pour prendre en charge le ministère de la santé.

Le 28 juin 1992, KOUCHNER, alors ministre de la santé et de l’action humanitaire, accompagne le président MITTERRAND à Sarajevo. Pierre PÉAN a écrit que c’est à cette occasion qu’il a gagné la confiance de MITTERRAND et qu’il a bénéficié dans les huit derniers mois du gouvernement Pierre BÉRÉGOVOY, d’un statut de « Ministre-bis des Affaires Étrangères ». Cette période coïncide avec celle de l’escroquerie par François MITTERRAND (PS) et son Gouvernement, des royalties sur les brevets FERRAYÉ.

Bernard KOUCHNER a administré le KOSOVO en tant que Haut représentant du Secrétariat de l’ONU au KOSOVO de 1999 à 2001. En tant qu’Administrateur du Pays, les crimes commis sous son autorité étaient donc de sa responsabilité, alors pourquoi a-t-il nié les faits relatifs au trafic d’organes durant cette période, s’il n’était pas concerné ?

KOUCHNER a totalement perdu son contrôle lorsqu’il a été confronté à des questions sur le trafic d’organes au KOSOVO, niant les faits alors que la Justice du Tribunal Pénal International avait les preuves à ce sujet. Voir aussi cet article du 26 février 2014. La réaction immodérée et déplacée du représentant de l’ONU qui se prévaut d’être « humanitaire », face à un crime aussi grave laisse perplexe sur les motivations de l’individu à démontrer un tel détachement à l’encontre du respect du droit à la vie…Même si cette attitude est typique du comportement général des « ministres » français qui ont pour habitude de tout nier dès qu’ils sont pris au piège de leurs fautes, dans le cas précis et en fonction de la gravité des faits, on est en droit de se poser beaucoup de questions.

Récapitulatif des fonctions en politique :

  • 1992 – 1993 Ministre de la Santé
  • 1994 – 1997 Député Européen
  • 1997 – 1999 Secrétaire d’État chargé de la Santé
  • 1999 – 2001 Secrétaire général de l’ONU au KOSOVO
  • 2001 – 2002 Ministre de la Santé
  • 2007 – 2010 Ministre Affaires étrangères et européennes

En 2013, selon le journal Marianne, KOUCHNER collaborait avec SIACI, une filiale d’assurances de la Compagnie Edmond de Rothschild qui compte le Groupe BOLLORÉ comme client…

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Christine LAGARDE

En 1991, au moment de l’escroquerie des royalties, Christine LAGARDE était associée gérante du Cabinet d’avocats Backer & McKenzie à Paris. Un cabinet qui compte 4’100 avocats dans 35 pays.

Elle en est devenue membre du comité exécutif mondial à Chicago en 1995 et enfin présidente de ce comité en 1999. De 2004 à 2005, elle a été présidente du comité stratégique mondial de Baker & McKenzie.

Parallèlement, de 1995 à 2002, elle est membre du cercle de réflexion Center for Strategic and International Studies (CSIS), au sein duquel elle copréside la commission Action USA-UE-Pologne et suit plus particulièrement le groupe de travail Industries de défense USA-Pologne (1995-2002) et les questions liées à la libéralisation des échanges polonais.

Jacques CHIRAC, président de la République, la nomme au grade de chevalier de la Légion d’honneur en juillet 2000. Elle devient, trois ans plus tard, membre de la Commission pour l’élargissement de la communauté euro-atlantique.

En avril 2005, elle est entrée au conseil de surveillance de ING, multinationale financière de bancassurance impliquée dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ.

Christine LAGARDE en politique :

  • 2005 Ministre déléguée au Commerce Extérieur du Gouvernement de Dominique de VILLEPIN
  • 2007 Ministre de l’Agriculture (de mai à juin 2007)
  • 2007 Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi du Gouvernement de François FILLON
  • 2008 Ministre de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi du Gouvernement de François FILLON
  • 2011 Directrice générale du FMI suite à la démission de Dominique STRAUSS-KAHN accusé d’agression sexuelle à New York.

Alors qu’elle était Ministre des Gouvernements successifs qui blanchissaient les royalties FERRAYÉ, il est troublant de constater que depuis l’escroquerie, trois Directeurs généraux du FMI ont été des Français, sachant que c’est certainement la meilleure organisation pour blanchir des fonds à coup de centaines de milliards d’EUROS, d’USD, etc., au détriment des Pays les plus pauvres.

Arbitrage de l’Affaire TAPIE c/ Crédit lyonnais

Fin 1992, Bernard TAPIE devenu Ministre a souhaité vendre Adidas pour éviter tout conflit d’intérêt comme le réclamait François MITTERRAND. TAPIE a confié un mandat de vente à la Société de Banque Occidentale (SdBO), une filiale du Crédit lyonnais. Le Crédit lyonnais a vendu Adidas pour le compte de Bernard TAPIE en février 1993, au prix fixé par Bernard TAPIE de deux milliards et quatre-vingt-cinq millions de francs (472 millions d’euros d’aujourd’hui après actualisation). TAPIE avait acheté 80 % d’Adidas pour 244 millions d’euros, selon Wikipedia.

Le 4 août 2011 la commission des requêtes de la Cour de justice de la République (CJR), saisie par Jean-Louis NADAL, procureur général près la Cour de cassation, recommande l’ouverture d’une enquête à l’encontre de Christine LAGARDE pour « complicité de faux » et « complicité de détournement de biens publics » au motif qu’elle se serait « personnellement » impliquée dans un processus qui comportait de nombreuses anomalies et irrégularités.

Dans l’enquête ouverte, il n’a jamais été question des raisons qui ont conduit François MITTERRAND à imposer Bernard TAPIE à son Premier Ministre BÉRÉGOVOY, ni pourquoi il était le seul Ministre à avoir pu se concocter un Ministère sur mesure et surtout à avoir droit à des entretiens privés fréquents avec le Président de la République F. MITTERRAND, qui à ce moment-là escroquait les royalties de Joseph FERRAYÉ.

Aucune question non plus sur le financement du Groupe TAPIE et sur sa fortune personnelle…

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Bruno LE MAIRE

Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique

Il a été Ministre pour l’Aménagement du territoire de 06.2009 à 05.2012 sous la Présidence de Nicolas SARKOZY, dans les gouvernements du PM François FILLON. Il est diplômé de l’ENA

Bruno LE MAIRE est surtout le fils de Maurice LE MAIRE, un cadre du groupe TOTAL qui a été l’une des sociétés principales impliquées dans l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ alors qu’elle portait encore le nom de ELF. La succursale de ELF Genève, dirigée par Alfred SIRVEN a été très impliquée dans les crimes organisés par le Gouvernement français.

En 1998 il entre au Ministère des Affaires étrangères, à la Direction des Affaires stratégiques, de Sécurité et du Désarmement. Il a donc tout de suite été en contact avec les stratégies mises en place par le Gouvernement pour escroquer et blanchir les royalties FERRAYÉ. Il a collaboré avec Dominique de VILLEPIN qui était secrétaire général de la Présidence de la République.

Bruno LE MAIRE a suivi Dominique de VILLEPIN au Ministère des Affaires étrangères entre 2002 et 2004, puis au Ministère de l’Intérieur de 03.2004 à mai 2005 où il est devenu conseiller politique du Premier Ministre.

LE MAIRE a été nommé conseiller politique de l’UMP en avril 2008, puis secrétaire d’État aux Affaires européennes en décembre 2008.

Candidat à la présidence de l’UMP en 2014, il est opposé à Nicolas SARKOZY et obtient 29.18 % des suffrages. Il est soutenu par 52 parlementaires UMP

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Didier  MIGAUD

A été Président de la Cour des Comptes depuis février 2010. auparavant en juin 1997, rapporteur de la Commission des Finances et le 28 juin 2007 Président de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale.

Didier MIGAUD a fait partie du Groupe SRC et était l’un des proches de Laurent FABIUS. Il a été le père de la LOLF, la nouvelle “constitution” budgétaire adoptée en 2001 qui a pour but de renforcer les pouvoirs budgétaires du Parlement.

Après avoir été chargé par Ségolène ROYAL d’une mission sur la fiscalité aux côtés de Dominique STRAUSS-KAHN et de François MARC, il a été pendant la campagne des élections présidentielles de 2007 « conseiller budgétaire » de la candidate Ségolène ROYAL.

En novembre 2008 Didier MIGAUD est membre du secrétariat national du Parti socialiste, comme conseiller pour les finances et la fiscalité auprès de Martine AUBRY. Il est intervenu dans la mission de contrôle de la commission, notamment sur l’affaire de l’arbitrage au profit de Bernard TAPIE.

Comme rapporteur de la Commission des Finances depuis 1997, puis comme Président et après avoir été chargé de mission par Ségolène ROYAL, aux côtés de Dominique STRAUSS-KAHN, deux piliers du Gouvernement au moment de l’escroquerie des royalties FERRAYÉ, il est troublant que Didier MIGAUD n’ait jamais dénoncé le blanchiment des royalties. Sa complicité est confirmée par son silence dans le cadre des privatisations des sociétés françaises décrites dans le “portrait SARKOZY”…

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Pierre   MOSCOVIC

Commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, à la Fiscalité et à l’Union douanière depuis 2014. Il a été Ministre des Affaires européennes de 1997 à 2002 et Ministre de l’Économie et des Finances de 2012 à 2014. Il est un fidèle de Lionel JOSPIN.

Pierre MOSCOVICI a été élu député européen lors des élections européennes de 1994, mandat qu’il abandonne le 5 juin 1997 après son élection à l’Assemblée nationale.

En octobre 1995, Lionel Jospin le nomme secrétaire national du PS chargé des études et du projet. Il a été président de l’association À gauche en Europe fondée par Michel ROCARD et Dominique STRAUSS KAHN. Lors de la campagne de la primaire présidentielle socialiste de 2006 il a soutenu activement Dominique STRAUSS-KAHN (voir onglet respectif), qui a été battu dès le premier tour par Ségolène ROYAL.

Pierre MOSCOVICI a été l’un des négociateurs français du traité constitutionnel européen.

En novembre 2011, il est devenu directeur de la campagne de François HOLLANDE pour l’élection présidentielle 2012.

Les activités de Ministre de Pierre MOSCOVICI depuis 1997 font qu’il a de manière certaine, suivi de près l’escroquerie et le blanchiment des royalties FERRAYÉ.Jérôme CAHUZAC qui a démissionné de ses fonctions ministérielles le 19 mars 2013 suite à des accusations de fraude fiscale, était l’un de Ministres délégués de Pierre MOSCOVICI. Une fois encore, sous l’illusion de fraude fiscale se cache réellement le blanchiment des royalties FERRAYÉ escroquées par les membres des gouvervements successifs.

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Ségolène ROYAL

Elle était Conseillère du président François MITTERRAND dans les années 1980 et Ministre des Gouvernements Pierre BÉRÉGOVOY (1992-1993) quand le Gouvernement français escroquait les royalties. Elle a été ensuite Ministre sous Lionel JOSPIN (1997-2000 et VALLS 2014).

Elle était ainsi présente au sommet de l’État lors de l’escroquerie des royalties encaissées sur les brevets de Joseph FERRAYÉ. A ne pas oublier au surplus qu’elle est la mère des enfants du Président François HOLLANDE, lui aussi lié de très près à l’escroquerie par les Ministres qui ont dirigé sa campagne présidentielle de 2012 et qui ont baigné dans l’escroquerie.

Ségolène ROYAL est sortie en 1980 de l’École Nationale d’Administration (64e de sa promotion) où elle a côtoyé Dominique de VILLEPIN, Renaud DONNEDIEU DE VABRES, Henri DE CASTRIES (AXA blanchiment par la reprise du Groupe WINTERTHUR et proche de Nicols SARKOZY), Michel SAPIN (Ministre des finances sous MITTERRAND et HOLLANDE), etc.

Peut-on en déduire que l’ENA est les centre de formation du crime économique français ? Il y a là un pas à franchir sans difficulté…

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Dominique Strauss-Kahn (DSK)

Il a été Ministre de l’Industrie et du Commerce extérieur dans les Gouvernements d’Edith CRESSON et Pierre BÉRÉGOVOY sous François MITTERRAND.

Comme Ministre de l’INPI (Protection industrielle), et pour avoir divulgué avec la complicité des PM Edith CRESSON et de Michel ROCCARD, les brevets FERRAYÉ qui étaient sous sa responsabilité, il est le N°1 en responsabilité dans l’escroquerie des royalties FERRAYÉ.

DSK a ensuite été Ministre de l’Économie des Finances et de l’Industrie du Gouvernement de Lionel JOSPIN, le poste idéal pour débuter le blanchiment des royalties.

Il a dû quitter son poste à la suite de l’affaire MNEF (dont a bénéficié aussi Manuel VALLS) dans laquelle, comme avocat d’affaires, il avait été rémunéré 600 000 francs TTC par la MNEF, au printemps 1997, alors que se négociait l’entrée de la Compagnie générale des eaux (CGE) au sein d’une holding de la mutuelle, Raspail participations.

Alors ministre de l’économie et des finances dans le Gouvernement Lionel JOSPIN il a été contraint de démissionner de son poste le 2 novembre 1999. Il était accusé d’avoir produit de faux documents, d’avoir « fabriqué » et utilisé des justificatifs antidatés. La police judiciaire a établi alors que la feuille de papier sur laquelle est imprimée la facture de DSK provenait d’une trame qui avait été fabriquée après la date indiquée sur la facture. Il a reconnu alors devant une chambre correctionnelle du T. G. I. de Paris, avoir commis une « erreur » de date dans les documents qu’il a fournis à la justice, tout en niant toute volonté de mentir. Il a finalement été relaxé des délits de « faux et usage de faux ».

DSK a été Directeur général du FMI (Fonds monétaire international) du 1er novembre 2007 au 18 mai 2011, date de sa démission après sa mise en cause dans le cadre d’une accusation d’agression sexuelle à New York. C’est une transaction financière qui a mis fin à la procédure.

En 2013, il a été renvoyé devant le tribunal correctionnel pour « proxénétisme aggravé en réunion », dans le cadre de l’affaire du Carlton de Lille. En septembre 2013, il a été nommé conseiller économique pour le gouvernement de la République de Serbie (sic !)…

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