Translate this article

Procureur général de la Confédération 2012 – 2020

Voir l’historique du Ministère Public de la Confédération

.

En 1993, alors que les banques suisses SBS et UBS (mais aussi Credit Suisse et les banquiers privés) avaient contribué à escroquer les centaines de milliards provenant des royalties sur la vente des systèmes FERRAYÉ, Michael LAUBER a été nommé Chef des enquêtes spéciales de l’unité criminelle de la police du Canton de Berne. C’est à ce moment-là aussi que Christoph BLOCHER, Administrateur de UBS SA, faisait construire 117 usines chimiques en Chine… Par la suite, il est devenu Ministre suisse de la Justice (sic !).

En 1995, Michael LAUBER a été nommé Chef de l’Unité centrale de la criminalité organisée de la Police fédérale (FedPol). Dans les années qui ont suivi, alors que les centaines de milliards des royalties escroquées avaient été mises sous séquestre suite à la plainte pénale du 29 janvier 1996 de Joseph FERRAYÉ, Michael LAUBER dirigeait l’unité chargée des enquêtes « anti-Mafia » à l’international.

C’est à cette période que les membres du complot, le Notaire Pierre MOTTU, les avocats Marc BONNANT, Dominique WARLUZEL, Mark BRUPPACHER, etc. transféraient Offshore, les capitaux séquestrés, grâce à la complicité du Procureur général genevois Bernard BERTOSSA, sous l’œil bienveillant de FedPol dirigé par Jean-Luc VEZ et de Michael LAUBER…

En 2000, suite à un désaccord avec sa hiérarchie sur la réorganisation des services fédéraux de la police, Michael LAUBER a quitté l’administration fédérale en même temps qu’un autre jeune et haut fonctionnaire, Daniel THELESKLAF, chargé de la lutte contre le blanchiment d’argent.

LAUBER s’est alors installé quelques temps comme avocat à Zürich, avant d’être engagé par VADUZ (Liechtenstein), comme responsable de l’unité chargée de recevoir et d’analyser les signalements que les banques doivent effectuer dès qu’elles suspectent que leurs clients pourraient blanchir des fonds. Avec un tel complice d’escrocs en place au Liechtenstein, les BANKSTERS pouvaient agir en toute sécurité et surtout en toute impunité !

En 2004, Michael LAUBER a encore changé d’orientation pour devenir Directeur de l’association des banques de la Principauté du Lichtenstein, puis Président en 2010. Alors au front, il a accompagné la mutation de la place financière de VADUZ, après le scandale en 2008 de l’affaire LGT (participation active dans le blanchiment des royalties), quand des listes de clients sont tombées aux mains du fisc allemand.

Le 28 septembre 2011, les Chambres fédérales réunies ont élu Michael LAUBER en qualité de Procureur général de la Confédération suisse, après qu’il ait suivi toute la filière du blanchiment des royalties escroquées sur la vente des brevets FERRAYÉ. Notons que depuis 1992, bon nombre de Parlementaires fédéraux ont été impliqués activement dans le blanchiment des royalties et que pour les autres, ils sont au moins coupables au sens de l’Art. 302 CPP relatif à l’obligation de dénoncer. Leur responsablilité personnelle et individuelle est engagée, solidairement avec l’Etat.

Les liens censurés sont accessibles avec le proxy : kproxy.com

Relevons maintenant qu’au moment de son élection en 2011, en regard de la liste succincte des personnes citées dans la rubrique « Fonctionnement corrompu de l’Etat suisse« , on constate la présence de Ministres de la Justice, de Ministres des Affaires étrangères et de Ministres de l’Economie, ce qui démontre que le Gouvernement suisse a été CORROMPU depuis le début de l’escroquerie des royalties… Il en est de même du reste de hauts fonctionnaires de l’Etat, de Procureurs, juges fédéraux et de magistrats à tous les niveaux dans les Cantons. Tous sont directement liés et complices de cette gigantesque escroquerie. Faut-il dès lors s’étonner que les Autorités politiques suisses aient choisi dès 2012, un Procureur général complice des pratiques du Crime organisé pour « lutter » contre les crimes dans lesquels ils trempent tous ?

Dans ce contexte, rappelons le comportement du Procureur général Michael LAUBER dans l’affaire Dieter BEHRING. Il est question d’arbitraire, le Procureur général ayant renoncé à poursuivre neuf autres co-prévenus dont les noms n’ont jamais été publiées grâce à la complicité des Médias, tous sous contrôle de la Franc-Maçonnerie et impliqués dans le blanchiment des royalties. Dans cette procédure, Michael LAUBER a été accusé de faux témoignage lorsqu’il a été appelé à la barre.

Le licenciement de cinq procureurs soulève aussi beaucoup de questions… Selon Félix REINMANN (licencié), le Procureur général LAUBER n’aurait pas apprécié un dossier ouvert sur l’organisation criminelle des Géorgiens en Suisse… Or, notre base de données sur le blanchiment des royalties FERRAYÉ fait état de liens directs d’individus originaires de Géorgie avec des membres cités plus haut, complice de l’escroquerie. Le 27 octobre 2016, on apprenait la démission fracassante du Procureur fédéral Stefan LENZ, dont les griefs envers son chef (Michael LAUBER) pointaient du doigt l’affaire PETROBRAS. Toutes les entités qui ressortent de ce dossier sont liées au blanchiment des royalties (des comptes à Genève – des noms comme J. SAFRA, Sarasin, HSBC, Julius Baer, Pictet, Lombard Odier, Credit Suisse, UBS, Heritage ou Cramer)… En consultant le fichier PETROBRAS, on comprend mieux le soutien de Fabien GASSER, Procureur général du Canton de Fribourg et Président de la Conférence des Procureurs suisses, à la réélection du Procureur général de la Confédération Michael LAUBER…

Les banquiers privés suisses ont été très actifs, non seulement dans le blanchiment des royalties, mais aussi lors de l’escroquerie de celles-ci. Voir aussi la page « Panama-Papers« . Ceci explique pourquoi le Procureur général Michael LAUBER, complice direct de l’escroquerie des royalties, a interdit à ses Procureurs de faire un travail d’investigation en profondeur, dans des dossiers dans lesquels il serait assurément apparu comme criminel !

Comme le démontre la rubrique « Illusion de la séparation des pouvoirs » , l’Etat de Droit en Suisse n’est plus qu’une utopie comme le démontre aussi la brochure Fracture-démocratique

Tous veulent aujourd’hui leur part du gâteau… C’est ce qui explique que lors des élections fédérales d’octobre 2019, 4’660 candidats ( 3’769 en 2015) se sont présentés sur les listes, pour 250 sièges à pourvoir ! La Suisse est devenue le Pays le plus corrompu des nations industrialisées et Transparency International la place au 3e rang dans son rapport mondial contre la corruption… C’est du n’importe quoi ! Quelle crédibilité peut-on encore accorder à une ONG pareillement « aveuglée » ou complice ?

Dans l’affaire des royalties, le Peuple a été spolié de centaines de milliards

Sans cette escroquerie et si Joseph FERRAYÉ avait été bénéficiaire des royalties qui devaient lui revenir de Droit, ce sont au final des centaines de milliards de francs qui seraient rentrés dans les caisses de l’Etat sous forme d’impôts. Nos Politiciens et nos Magistrats judiciaires ont donc contribué à priver l’Etat de cette manne financière, dans un but d’intérêts personnels. Ils sont ainsi coupables d’escroquerie active au sens de l’Art. 260ter du Code Pénal Suisse (crime en bande organisée) pour certains. Pour tous les autres qui ont connaissance des faits et pratiquent l’Omerta, ils sont quant à eux TOUS coupables au sens de l’Art. 302 CPP (code de procédure pénale) relatif au DEVOIR DE DÉNONCER…

Ainsi, lorsque la Vérité sera enfin mise en lumière, les responsabilités civiles individuelles et personnelles de TOUTES / TOUS ceux qui auront agi soit activement, soit en trahissant leur devoir de fonction ou encore par omission au sens des Art. 260ter CPS ou 302 CPP, vont s’établir en milliers de milliards de francs. ils feront TOUS face à ces responsabilités gigantesques, personnellement et individuellement, solidairement avec l’Etat qu’ils représentent !

Le Procureur général de la Confédération Stefan BLÄTTLER a déclaré dans la Presse qu’il voulait aller de l’avant, sans se retourner sur le passé.

La question est alors de savoir si cette attitude relève pas de la Politique de l’autruche ou de la complicité, en fonction du parcours professionnel des Procureurs du MPC en activité, comme le montre le tableau qui suit…

On constate que la plupart des Procureurs fédéraux ont été au service de FedPol pendant que l’Office fédéral enquêtait sur l’escroquerie des royalties, et nous savons que le dossier a ensuite été transmis au Procureur général genevois Bernard BERTOSSA sans qui l’escroquerie n’aurait jamais eu lieu. D’autres Procureurs ont contribué à d’autres escroqueries ou des opérations de blanchiment et ceci nous conduit à constater que le MPC n’est pas apte à assumer la tâche que la Confédération lui à fixée.

La question de savoir si le Ministère Public de la Confédération et son Procureur général Stefan BLAETTLER sont également complices, ne se pose plus en fonction des casseroles dont sont affublés la plupart des Procureurs et le mutisme (complicité) du Procureur général !

C’est pour cette raison que j’ai été contraint à déposer des réserves civiles en fonction de la valeur actuelle des royalties escroquées, une valeur estimée à plus de CHF 70’000 milliards, à l’encontre de toute personne qui fait entrave à l’action pénale et à la prise de contrôle des royalties. Des réserves civiles déposées à titre personnel et individuel contre chaque intervenant, solidairement entre eux et subsidiairement solidairement avec l’Etat. Toutes les précisions utiles à ce sujet sont accessibles sur https://swisscorruption.info/responsabilites.

.

.

Historique du Ministère Public de la Confédération et des Chefs de Départements, depuis 1991

1989 – 1999KOLLER ArnoldConseiller Fédéral Justice et Police (1987 – 1989 / Militaire) https://swisscorruption.info/pdc/#koller1933 –
1990 – 1993PADRUTT WILLYProcureur général1928 – 2022
1992 – 2000DUCRET MarkusCollaborateur scientifique de l’Office Fédéral de la Justice
Juge cantonal fribourgeois élu en 12.2018
1961 –
1994 – 1998DEL PONTE CarlaProcureure générale (FedPol était alors sous la direction du MPC jusqu’en 09.1999), soit pendant l’escroquerie des royalties)
Elle était depuis 1985 Procureure générale du Tessin
1947 –
1995CHASSOT IsabelleCollaboratrice scientifique de FedPol sous la direction de Carla DEL PONTE https://swisscorruption.info/merinat/#chassot
2023 Présidente de la CPE (Commission Parlementaire d’Enquête) CREDIT SUISSE
1999Vacant
1999 – 2003METZLER RuthConseillère Fédérale Justice et Police (FedPol) https://swisscorruption.info/pdc/#metzler 1964 –
03.2000 – 2006ROSCHACHER ValentinProcureur général
1996 suppléant du Chef de FedPol (Michael LAUBER)
1960 –
2001 –MONTANARI RuediProcureur général suppléant depuis 2008 sous la direction des Procureurs généraux BEYELER et LAUBER
2003 – RAYROUD JacquesJuge d’instruction à Fribourg Affaire GROSSRIEDER et Opération « Requin » dans les années 90, liée à l’économie immobilière grise
Procureur fédéral 2003-2015
Procureur général suppléant depuis 2016 sous l’ère LAUBER.
2003 – 2007BLOCHER ChristophConseiller Fédéral – Justice et Police (FedPol) https://swisscorruption.info/blocher1940 –
2006 – 2007FELS Michel-AndréProcureur adjoint dès 2004
Proc. gén. par interim de 07.2006 à 08.2007
1960 –
08.2007 – 2011 BEYELER ErwinProcureur général sur propositon de Christoph BLOCHER
Avait été nommé Directeur adjoint de FedPol en 2001
1952 –
2008 – 2010WIDMER-SCHLUMPF EvelineConseillère Fédérale (2010 – 2015 / Finances)1956 –
2010 – 2018SOMMARUGA SimonettaConseillère Fédérale (2018 – 2022 / DETEC)1960 –
2012 – 08.2020LAUBER Michael Procureur général
1995 à 2000 FedPol Chef de la division de lutte contre le crime organisé et le blanchiment.
Il officie comme directeur du Bureau de communication en matière de blanchiment d’argent du Liechtenstein de 2001 à 2004. Pendant les six années suivantes, il est à la tête de l’association des banquiers de la principauté
1965 –
2016 – CRUCHET NicolasProcureur / Ancien JI VD / escroquerie BURDET
2016 – NICOLET YvesProcureur / Ancien JI VD chargé de l’instruction pour le procès MOTTU c-BURDET lié à l »escroquerie des royalties & Appel au Peuple Instr. à charge c-Marc-Etienne BURDET1970 –
2018 – 2022KELLER-SUTTER KarinConseillère Fédérale Justice et Police (FedPol)
(2023 – / Finances)
1963 –
07.2020KELLER StefanProcureur « extraordinaire » Affaire FIFA
2021VacantFonction assumée par les suppléants MONTANARI & RAYROUD
2021 ou avantSCHMID Jean-BernardProcureur « extraordinaire » Affaires ERNI et Jean-Daniel MERINAT / Daniel CONUS
1998 – 05.2002 Procureur à Genève sous B, BERTOSSA
06.2002 – 03.2012 Procureur à Genève sous D. ZAPPELLI
04.2012 – 12.2017 Procureur à Genève sous O. JORNOT
1952 –
01.2022 – BLÄTTLER StefanProcureur général de la Confédération
Collaborateur UBS à la fin des années 1980)
1995 – 2006 Adjoint puis Chef de la Police Cantonale de Berne
1959 –
04.2022KÜPFER BarbaraSecr. générale / Membre du Directoire du MPC
SWISSCOM 2006 – 03.2022
La Poste Suisse 09.2005 – 01.2007
12.2022 –BAUME-SCHNEIDER ElisabethConseillère Fédérale Justice et Police (FedPol)1963 –

Voir aussi la corruption des Autorités politiques et judiciaire sur le lien https://swisscorruption.info/communique7

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *